Six ans après The Guilty, le réalisateur suédo-danois Gustav Möller revient avec Sons, un thriller psychologique carcéral. L’attente était longue, les attentes nombreuses…
Cinéma
À la suite de l’annonce de la fermeture de leur usine, une poignée d’ouvriers kidnappent leur parton. Factory, le film du russe Yuri Bykov les suit pendant une nuit de huis-clos.
Sans rien vous dévoiler, il apparaît dès les premières pages que La Légende de Santiago marque la fin des aventures de Santiago Quiñones. L’occasion pour nous, grâce à ses éditrices entremetteuses, de poser quelques questions à Boris Quercia.
Cette année encore, nous nous sommes rendus au Festival international du film policier de Beaune, pour sa dixième édition. Tristesse quand même de n’avoir pu participer à l’édition intégrale du festival, et à l’idée d’avoir manqué Viggo Mortensen… Reprenons-nous, voici la présentation de deux films qui ont marqué notre, trop court, séjour : The Guilty de Gustav Möller et Ajji de Davashish Makhija.
Tout commence par Simon Brenner, personnage sorti de l’imagination de l’auteur autrichien Wolf Haas, et qui n’en finit pas de séduire.
Dès 1945 se met en place une industrie cinématographique en Iran. Un jeune cinéaste d’envergure va émerger : Samuel Khachikian. En 1953, dès son premier film, Le Retour, il va déboulonner la tradition du film farsi en s’illustrant par une série de films noirs, influencés par Fritz Lang et Alfred Hitchcock.
La première rencontre avec Antiviral de Brandon Cronenberg ce fut une bande-annonce avant la découverte d’un film à l’étrange fascination.
Louise et Pierre vivent au Havre, dans une rue bordée d’immeubles et de commerces. Louise vient juste de rentrer de voyages d’affaires et apprend par ses voisins qu’une jeune femme est morte, assassinée à coups de couteaux, juste en face de chez eux, la nuit précédente. Un crime que personne n’a vu, ni entendu.
Premier roman – noir – de Benoît Philippon, Cabossé se remarque par ses personnages et son style. Nous sommes […]